Les Pionniers

Une nouvelle histoire, mais cette fois-ci plus humoristique. Dedans vous allez peut être sentir une ressemblance avec le film "Interstellar", mais ce n'est pas le cas, de plus j'avais l'idée bien avant de savoir qu'il allait exister.


Ecriture :

Guillaume Chevrier (Artekyon)


Synopsis : En 2041, la conquête spatiale pouvait enfin commencer. La Terre est ravagé par l'astéroïde Apophis et il est grand temps pour l’humanité de trouver une nouvelle planète habitable. Différentes équipes partent dans différents endroits de la galaxie et nous, nous allons suivre l'équipage du Dovak 2041-F350, celui du capitaine Fisher.

Les Pionniers






I






L’univers, l’univers est vaste ... que dis-je, infini ! nul ne sait quand est-ce que cela s’arrête et pourtant l’humanité veut découvrir plus, vivre de nouvelles aventures dans ce monde gigantesque. 2037, une année a passé après la chute de l’astéroïde Apophis, depuis, la Terre a subi de lourdes pertes, les ressources naturelles diminues de plus en plus, il en est de même pour l'espérance de vie. Cependant, les humains avaient anticipés cet évènement. En 2028, la conquête de l’univers intéressa vraiment les scientifiques et autres policiens, même si ces derniers sont avides de pouvoir et ne voient que richesse dans cette découverte. En 2041, la conquête spatiale pouvait enfin commencer. Plusieurs escouades de six spationautes partirent dans des directions différentes du système solaire. L’équipe que nous allons suivre est sans doute la moins expérimentée. A sa tête, le commandant David Fisher. L’histoire commence donc ici, alors qu’il était en train de faire son repassage. Notre héros n’avait rien de très charismatique, cheveux brun, yeux vert et d’une taille dans la moyenne des hommes, en résumé, un monsieur tout-le-monde. Dans sa maison de fonction, ridiculement petites pour un commandant, alors qu’il repassait ses caleçons à cœurs, le téléphone retentit au loin, dans la pièce d’à côté. Il s’y dirigea et décrocha. Son interlocuteur était l’amiral McGofrat, sa voix grave ordonna à Fisher de le rejoindre dans son bureau sans donner d’autres explications. Alors que Fisher reposa son téléphone, il se retourna brusquement, son caleçon à cœurs rose bonbon avait violemment cramé. C’est ça de laisser le fer à repasser sur un vêtement, c’est pas comme si les ressources du monde manquait !

En se dirigeant, vers la sortie, une femme peu habillé sortit de la chambre en suppliant Fisher de revenir dans le lit pour crier au loup une nouvelle fois. Perturbé par la proposition de cette femme à la vertu négociable, il se frappa la tête contre le mur en voulant sortir de sa maison. Il sortit donc de ladite maison désorienté et se lança de ce pas vers le bureau de l’amiral McGofrat. En chemin, il pu voir la fierté américaine, tout ces soldats prêts à mourir pour leur pays en se faisant des défis du genre : “Je te fonce dessus et tu ne dois pas tomber, ça va être rigolo” ou encore “Tire sur mon gilet pare-balle avec un RPG-29 pour voir ce que ça fait”, bref l’Amérique dans toute sa splendeur, que demander de plus à par une bombe thermonucléaire sur l’Irak …


Arrivé sur les lieux, deux soldats stationnaient de chaque côtés de la porte qui l’ouvrit quand Fisher s’y approcha. A l’intérieur, il vit l’amiral, tout deux se salua et entama la conversation. L’amiral demanda à Fisher de servir une nouvelle fois sa mère patrie, l’Amérique, en l’envoyant dans l’espace et faire en sorte de trouver le nouvel Éden, avoir en sa possession une nouvelle planète habitable pour l’espèce humain, il serait donc l’un des premiers pionniers de la planète Terre. Son objectif était d’aller dans le système solaire au nord de celle de la Terre en utilisant le vaisseau Dovak 2041-F350, un vaisseau spatial dernière génération prévu pour voyager à haute vitesse et permettre de visiter des planètes à plus des années lumières. Bien sûr il n’allait pas partir seul, il serait accompagné de cinq autres personnes. Ils entrèrent dans la pièce, ces cinq spationautes n’avaient pas vraiment quelque chose de spécial et n’avaient pas l’air très futés aussi. L’amiral commença à présenter le major Ethan Wolaski qui allait être son bras droit, un homme d’une vingtaine et plutôt musclé. Ensuite, ce fut le tour du sergent Robert Duchamps, un français vu le nom, il était le pilote du vaisseau. Puis arriva le tour du docteur Ivan Toline, le nom de ce dernier avait doucement fait rire les alentours, même les deux soldats qui surveillaient la porte, étaient en train de se pisser dessus. Suite à cela, le docteur leur fit un regard aussi noir qu’une blagues de Pierre Desproges. L’ingénieur du vaisseau était russe, de plus c’était une femme, Olga Kravasininiki … Non Kravanisoski .... Kravasinikovsky ! Ah voilà ! En tout cas, Fisher avait l’air très intéressé par sa beauté mammaire qui venait à rebondir dès qu’elle salua le commandant suivi d’une baffe. Et pour finir, le soldat Régis, juste Régis, c’est amplement suffisant pour comprendre qu’il était comme un stagiaire entre tout ces professionnels, d’ailleurs son salut fut extrêmement maladroit qui ne manquait pas de faire tomber le caniche empaillé, Kiki, de l’amiral. Les présentations étant faite, il ne restait plus que pour eux de découvrir la carcasse de ce vaisseau de choc, le Dovak 2041-F350.